« Nous voulons éviter que les projets d’implantation d’industries soient inclus dans les quotas d’artificialisation au titre du ZAN et bien sûr le monde de l’environnement y est défavorable. Le gouvernement est divisé sur ce sujet et la rédaction du projet de loi n’écarte que les projets d’intérêt national majeur de telle manière que les projets importants ou moyens à l’échelle de nos bassins de vie n’ont aucune chance d’être mis hors quota.
L’amendement visant à retirer du quota d’artificialisation tous les projets industriels a été présenté en séance au Sénat le 3 juin. Il a été adopté. Bien entendu, il ne s’agit que d’une première étape puisque le gouvernement n’y est pas vraiment favorable. Il convient de voir si l’Assemblée Nationale suivra ou non…Je veux l’espérer pour que nos territoires vivent et pas seulement les métropoles et les ports. »